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royaume des mots
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royaume des mots

VIP-Blog de royaume-des-mots
  • 28 articles publiés dans cette catégorie
  • 1568 commentaires postés
  • 1 visiteur aujourd'hui
  • Créé le : 15/04/2006 02:13
    Modifié : 22/02/2009 22:22

    Fille (20 ans)
    Origine : maroc
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    [ pour toi ] [ poémes ] [ belles histoires ] [ divers ] [ bouquet de paroles ]

     

    LA PAIX

    01/05/2006 02:41

    LA PAIX


     

    Il était une fois,
    un roi qui avait offert un prix
    à l'artiste qui ferait la peinture
    de la plus belle image de la paix.Plusieurs artistes ont essayé.
    Le roi a regardé les images,
    mais il n'en aimait seulement deux
    et il avait à choisir entre ces deux peintures.

    La première image était un lac calme.
    Le lac était un miroir parfait
    pour les montagnes majestueuses autour.
    Au-dessus il y avait un ciel bleu
    avec quelques noages blancs.
    Tous ceux qui ont vu cette peinture
    ont pensé que c'était l'image parfaite de la paix.

    L'autre peinture avait des montagnes aussi.
    Mais elles étaient abruptes, rocheuses
    et le sommet sans arbre.
    Au-dessus, il y avait un ciel orageux
    avec de la pluie et des éclairs.

    À côté de la montagne,
    il y avait une grosse chute d'eau.
    Cela ne ressemblait en rien à la paix.

    Mais quand le roi a regardé,
    il a vu derrière la chute,
    un petit buisson qui avait poussé sur le rocher.
    Dans le buisson, une maman oiseau
    avait bâti son nid.
    Là, au milieu de ce remous d'eau,
    était assise la maman oiseau
    sur son nid... en parfaite paix.

    D'après vous, quelle image a remporté le prix?

    Le roi a choisi la seconde.
    "Parce que, expliqua le roi,
    la paix ne veut pas dire d'être
    à un endroit où il n'y a ni bruit,
    ni trouble ou de gros travaux.
    La paix veut dire d'être
    au milieu de toutes ces choses
    et d'être toujours calme dans votre cœurs





     

     

    Deux frères étaient paysans

    28/04/2006 18:59

    Deux frères étaient paysans


     

    Or le fils ainé avait toujours de plus belles récoltes que son frère. Il ramenait souvent dans sa grange, des graines étranges qu'il cachait dans un coffre qu'il fermait à clé.

    Son frère jaloux, l'épiait, et se dit :

    "Ce doit être des graines magiques que mon frère utilise pour avoir de si bonnes récoltes. Je vais toutes les voler et les semer et on verra bien qui de nous deux aura la plus belle récolte".

    Quelques temps plus tard, les graines se mirent à germer puis à pousser rapidement, tellement rapidement qu'elles envahirent tout son terrain en un rien de temps. Mais ce n'était pas une céréale magique qui poussait mais des ronces épaisses et très épineuses et bientôt, il ne pût pénêtrer dans son champs.

    Alors qu'il se morfondait sur son sort, son frère vint le trouver et lui dit : "Pauvre de toi, tu a cru en la facilité et tu récoltes la difficulté.

    Tu as volé les graines que je ramassais pour éviter qu'elles ne détruisent nos récoltes.

    Ton avidité a été plus fort que ton courage.

    Il en est de même pour tout.

    Si tu ne sais pas l'origine d'une phrase, ne la répète pas. Tu sèmerais alors peut-être des mensonges et tu pourrais récolter de la haine. De même, si tu ne connais pas la profondeur d'un sentiment, n'en parle pas. Tu sèmerais alors des émotions d'espoir et tu pourrais récolter des flots de tristesse.

    En toutes choses, vérifie d'abord la qualité de ce que tu sèmes et alors tes récoltes seront belles, abondantes et te nourriront pour toujours".

    Semez de bonnes graines d'amour, la récolte sera le bonheur.







     

     

    une jolie histoire pour toi

    25/04/2006 19:30

    une jolie histoire pour toi



    Un jour, une femme sort de sa maison et voit 3 vieillards avec de longues barbes blanches, assis devant chez elle. 
    Elle ne les reconnaît pas.

    Elle leur dit "Je ne pense pas que je vous connaisse, mais vous devez  avoir faim, s'il -vous -plait entrez et je vous donnerai quelque chose à manger."

    "Est-ce que l'homme de la maison est là ?" ont-ils demandé. "Non, il est sorti. " Leur répondit-elle,  "alors nous ne pouvons pas entrer", ont-ils répondu.

    En soirée lorsque son mari arrive à  la maison, elle lui dit ce qui  s'était passé.
     

    "Va leur dire que je suis à la maison et invite-les à entrer !" 
    dit-il à sa femme.  La femme sort et invite les hommes 
    à entrer dans la maison.  "Nous n'entrons jamais ensemble dans une maison," ont-ils répondu. "Et pourquoi ? , a-t-elle voulu savoir.

    Un des vieillards lui expliqua : "Son nom est Richesse," dit-il en indiquant un de ses amis et, en indiquant l'autre,
     "Lui c'est Succès et  moi je suis Amour."

    Il a alors ajouté, "Retourne a la maison et discute avec ton mari pour savoir lequel d'entre nous vous voulez dans votre maison."

    La femme retourne à la maison et dit à son mari ce qui avait été dit. Son mari était ravi. "Comme c'est agréable!!",  dit-il. 
    "Puisque c'est le cas, nous allons inviter Richesse.

    Sa femme n'était pas d'accord.  "Mon cher, pourquoi n'inviterions-nous  pas Succès ?"

    Leur belle-fille qui était dans une autre pièce, entendit leur conversation, elle sauta sur l'occasion pour  faire sa propre suggestion "Ne serait-il pas mieux d'inviter Amour ?  La maison sera alors remplie d'amour!"

    Tenons compte du conseil de notre belle-fille" dit le mari à sa  femme. "Sort et invite Amour à être notre invité."

    La femme sort et demande aux 3 vieillards,  "Lequel d'entre vous est  "Amour"?  Elle lui dit, s'il -vous- plait entre et soit notre invité."  Amour se lève et commença à marcher  vers la maison.   Les 2 autres se lèvent aussi et le suive.

    Étonnée, la dame demande à Richesse et Succès :
     "J'ai seulement invité Amour. Pourquoi venez-vous aussi?"

    Les vieillards lui répondirent ensemble :  "Si vous aviez invité Richesse ou Succès  les deux autres d'entre nous serions restés dehors,  mais puisque vous avez invité "Amour", partout où il va,  nous allons avec lui, puisque partout où il y a de l'Amour, il y a aussi de la  Richesse  et du "Succès" !!!!







     

     

    La corde invisible

    27/04/2006 19:44

    La corde invisible


     

      Un paysan avec 3 de ses ânes se rendait au marché
      pour vendre sa récolte.
     
        La ville était loin et il lui faudrait plusieurs
      jours pour l'atteindre.
     
        Le premier soir, il s'arrête pour bivouaquer non
      loin de la maison d'un vieil hermite.
     
        Au moment d'attacher son dernier âne, il s'aperçoit
      qu'il lui manque une corde.
     
        Si je n'attache pas mon âne se dit-il demain, il
      se sera sauvé dans la montagne!
     
        Il monte sur son âne après avoir solidement attaché
      les 2 autres et prend la direction de la maison
      du vieil hermite.
     
        Arrivé, il demande au vieil homme s'il n'aurait pas
      une corde à lui donner.
      
        Le vieillard avait depuis longtemps  fait voeux
      de pauvreté et n'avait pas la moindre corde,
      cependant, il s'adressa au paysan et lui dit:
     
        "Retourne à ton campement et comme chaque jour
      fait le geste de passer une corde autour du cou de
      ton âne et n'oublie pas de feindre de l'attacher à
      un arbre."
     
        Perdu pour perdu, le paysan fit exactement ce
      que lui avait conseillé le vieil homme.
     
        Le lendemain dès qu'il fût réveillé, le premier
      regard du paysan fût pour son âne.
     
        Il était toujours là!
     
        Après avoir chargé les 3 baudets, il décide de
      se mettre en route, mais là, il eut beau faire,
      tirer sur son âne, le pousser, rien n'y fit.
     
        L'âne refusait de bouger.
     
        Désespéré, il retourne voir l'Hermite et lui
      raconte sa mésaventure.
     
        "As-tu pensé à enlever la corde?" lui demanda-t-il.
     
        "Mais il n'y a pas de corde!ü" répondit le paysan.
     
        "Pour toi oui mais pour l'âne..."
     
        "Le paysan retourne au campement et d'un ample
      mouvement, il mime le geste de retirer la corde.
     
        L'âne le suit sans aucune résistance.
     
      .....................................................
     
     
        Ne nous moquons pas de cet âne. Ne sommes-nous pas,
      nous aussi, esclave de nos habitudes, pire, esclave
      de nos habitudes mentales?
     
        Demandez-vous quelle corde invisible vous empêche de
      progresser...







     

     

    Tirer avantage d'une situation

    27/04/2006 19:29

    Tirer avantage d'une situation


      

      Il était une fois deux frères, Tham et Hiên. À peine
    avaient-ils atteint l'adolescence que leurs parents
    moururent. Ils laissaient aux deux frères la maison des
    ancêtres, simple mais spacieuse, quelques champs, ainsi
    qu'une parcelle de bois et une petite cabane.

        Tham était cupide, avare et orgueilleux. Hiên était
    bon, serviable et généreux. Quand les deux frères songèrent
    à se marier, Tham chercha l'épouse la plus riche possible,
    tandis que Hiên chercha une épouse selon son cour, douce
    et aimante.

        Sitôt les noces terminées, Tham vint voir son frère
    et lui dit : "maintenant que nous avons chacun une épouse,
    la maison est trop petite pour nous deux. Comme je suis
    l'aîné, il est normal qu'elle me revienne. Mais je suis
    généreux, et je ne te laisserai pas sans rien. Tu prendras
    donc la petite cabane et le lopin de terre qui l'entoure.
    Tu es travailleur, tu pourras aisément la réparer et
    exploiter ton champ. " Hiên baissa la tête et alla parler
    à sa femme. 

        La petite cabane était dans un piteux état et la
    minuscule parcelle était dure et rocailleuse. Seul, tout
    au bout du champ, trônait un carambolier majestueux et
    encore plein de vigueur malgré son âge. Ses frondaisons
    ombrageaient la cabane et, en le voyant, Hiên songea qu'au
    moins, les Dieux ne l'avaient pas abandonné.

        Hiên et sa femme travaillaient très dur mais ce qu'ils
    gagnaient ne suffirait pas à nourrir une famille, or la
    jeune femme attendait son premier enfant. Un soir que Hiên
    désespérait, sa femme le tira par la manche pour l'entraîner
    dehors. " Regarde le carambolier, dit-elle. Il croule sous
    les fruits. Bientôt je pourrai les cueillir et les vendre
    au village. Il y a toujours de l'espoir. "

        Mais le lendemain, alors qu'il partait vers la forêt,
    Hiên aperçut un grand oiseau au plumage de feu qui était
    posé sur l'arbre et qui piquait les caramboles. " Bel oiseau,
    tu devrais avoir pitié de nous. Ces caramboles sont tout ce
    qu'il nous reste, si tu nous les enlèves, nous n'aurons plus
    rien ! " Hiên ne savait pas que le bel oiseau était le
    légendaire Phénix. Aussi fut-il très surpris quand l'oiseau
    se tourna vers lui et lui répondit : " Je ne serai pas un
    ingrat, et vous serez largement récompensés pour m'avoir
    permis de picorer ces caramboles. Demande à ta femme de
    coudre un sac et revient me voir sur le carambolier demain
    matin. "

        Le lendemain Hiên se tint sous le carambolier, son sac
    à la main. Il entendit un bruit de plumes, leva la tête et
    aperçut le phénix qui se régalait encore des caramboles.
    L'oiseau le prévint alors : " ouvre ton sac et place-le
    sous l'arbre ". Hiên obtempéra : au fur et à mesure que
    l'oiseau digérait les fruits, il lâchait dans le sac des
    pierres précieuses, des diamants et des pépites d'or. Avant
    même que le sac ne soit rempli, Hiên alerta le Phénix :
    " Arrête bel oiseau ! J'ai déjà bien plus qu'il ne me faut
    pour vivre. Je te remercie. Tu as été trop bon pour moi. "

        Le Phénix reconnut la sagesse du jeune paysan et lui
    dit alors : " Si à nouveau la misère frappe à ta porte,
    regarde ce carambolier et tu te souviendras que le désespoir
    n'est jamais complet, qu'il existe toujours une solution cachée
    et que je ne serai pas loin si tu as besoin de moi. "

    ...............................................................

        Ce conte populaire recèle une grande vérité : la richesse
    n'est pas dans le nombre des numéraires, mais dans la possibilité
    de compter sur notre force, notre imagination, notre intelligence,
    notre créativité. Ces dons sont exploitables à l'infini ! Pour
    s'enrichir, il suffit de savoir tirer d'une situation donnée
    tous les avantages possibles.

        Certes le carambolier est le Phénix sont providentiels, mais
    le bel oiseau n'a pas daigné parler au méchant frère. C'est à Hiên
    qu'il s'est adressé. Cela signifie que la chance ne sourit qu'à
    ceux qui entreprennent, qui sont courageux, persévérants,
    confiants dans leur capacité de réussir et qui ne  rejettent pas
    la responsabilité de leur situation sur le Destin en accusant la
    fatalité.







     

     

    la jarre abîmée

    27/04/2006 19:00

    la jarre abîmée


    Un porteur d'eau indien avait deux grandes jarres,

    suspendues aux deux extrémités d'une pièce de bois

    qui épousait la forme de ses épaules.

     

    L'une des jarres avait un éclat, et,

    alors que l'autre jarre conservait parfaitement

    toute son eau de source jusqu'à la maison du maître,

    l'autre jarre perdait presque la moitié de sa précieuse

    cargaison en cours de route.

     

    Cela dura 2 ans, pendant lesquels,

    chaque jour, le porteur d'eau ne livrait

    qu'une jarre et demie d'eau à chacun de ses voyages

     

    Bien sûr, la jarre parfaite était fière d'elle,

    puisqu'elle parvenait à remplir sa fonction

    du début à la fin sans faille.

     

    Mais la jarre abîmée avait honte

    de son imperfection et se sentait déprimée

    parce qu'elle ne parvenait à accomplir

    que la moitié de ce dont

    elle était censée être capable.

     

    Au bout de 2 ans de ce qu'elle considérait

     comme un échec permanent,

    la jarre endommagée s'adressa au porteur d'eau,

    au moment où celui-ci la remplissait à la source.

     

    "Je me sens coupable, et je te prie de m'excuser".

     

    "Pourquoi?" demanda le porteur d'eau.

    "De quoi as-tu honte?"

     

    "Je n'ai réussi qu'à porter la moitié de

    ma cargaison d'eau à notre maître,

    pendant ces deux ans,

    à cause de cet éclat qui fait fuir l'eau.

    Par ma faute, tu fais tous ces efforts,

    et, à la fin, tu ne livres que la moitié de l'eau.

    Tu n'obtiens pas la reconnaissance complète

    de tes efforts", lui dit la jarre abîmée.

     

    Le porteur d'eau fut touché par cette confession,

    répondit: "Pendant que nous retournons à la maison

    du maître, je veux que tu regardes les fleurs

    magnifiques qu'il y a au bord du chemin".

     

    Au fur et à mesure de leur montée sur le chemin,

    au long de la colline, vit de magnifiques fleurs

    baignées de soleil sur les bords du chemin,

    et cela lui mit du baume au coeur.

    Mais à la fin du parcours,

    elle se sentait toujours aussi mal

    parce qu'elle avait encore perdu la moitié de son eau.

     

    Le porteur d'eau dit à la jarre

    "T'es-tu rendu compte qu'il n'y avait de belle fleurs

    que de TON coté,

    et presque aucune du côté de la jarre parfaite?

    C'est parce que j'ai toujours su que tu perdais de l'eau,

    et j'en ai tiré parti.

     

    J'ai planté des semences de fleurs de ton côté du chemin,

    et, chaque jour,

     tu les as arrosées tout au long du chemin.

     

    Pendant 2 ans, j'ai pu grâce à toi cueillir

    de magnifiques fleurs qui ont décoré la table du maître.

    Sans toi, jamais je n'aurais pu trouver

    des fleurs aussi fraîches et gracieuses."

     

    Morale de l'histoire:

    Nous avons tous des éclats, des blessures, des défauts.

    Nous somme tous des jarres abîmées.

     

    Certains d'entre nous sont diminués par la vieillesse,

    d'autres ne brillent pas par leur intelligence,

    d'autre trop grands, trop gros ou trop maigres,

    certains sont chauves, d'autres sont diminués physiquement, mais ce sont des éclats,

    les défauts en nous qui rendent nos vies intéressantes et exaltantes.

     

    Vous devez prendre les autres tels qu'ils sont,

    et voir ce qu'il y a de bien en eux.

    Il y a beaucoup de positif partout.

    Il y a beaucoup de bon en chacun de vous.

     

    Ceux qui sont flexibles ont la chance

    de ne pas pouvoir être déformés.

    Souvenez-vous d'apprécier tous les gens

    si différents qui peuplent notre vie!

    Sans eux, la vie serait bien triste.







     

     

    FAITES-LE MAINTENANT

    27/04/2006 18:54

    FAITES-LE MAINTENANT



    "Et si ce lendemain que je pense déjà acquis ne devait
      pas venir ?
     
          Et si demain était mon dernier jour ?"
     
          Cette pensée envahissait l'esprit de Marthe, une vieille
      dame de 85 ans, veuve et seule dans son grand appartement
      chargé de souvenirs.
     
          Elle y songea toute la nuit, se retourna 1.000 fois
      dans son lit vide, rongea cette pensée comme un os, la roula
      dans son esprit si longtemps qu'elle en fit un galet,
      une pierre de sagesse.
     
          Au matin, elle avait pris sa résolution : "je vais vivre
      chaque journée comme si c'était la dernière. Voilà la seul et véritable manière de goûter la vie."
     
           Aujourd'hui, Marthe lit davantage et passe beaucoup moins
      de temps à épousseter les meubles !
     
           Elle admire les fleurs de son jardin sans trop se soucier
      des mauvaises herbes qui pointent ici et là. 
     
           Elle invite ceux qu'elle aime et n'attend pas pour les
      voir qu'ils l'invitent.
     
           Quand elle reçoit, elle sort ses plus belles tasses sans
      avoir peur de les salir ou de les casser.
     
           Elle porte enfin la belle veste de cachemire rouge que
      ses petits enfants lui ont offert pour Noël.
     
           Elle la met même pour aller au marché, avec une goutte
      de son meilleur parfum.
     
           Surtout, surtout, Marthe a cessé de dire : "Je ferai
      cela un jour, quand j'aurai le temps !"
     
          Maintenant elle dit : "Si cela vaut la peine de le faire,
      je le fais MAINTENANT"

      .............................................................
     
          Vous aussi, comme Marthe, réfléchissez
      à ce que vous feriez si jamais on vous disait : "aujourd'hui
      est ton dernier jour".
     
          Vous constaterez que les priorités émergent naturellement,
      que beaucoup de choses rentrent dans l'ordre et que le superflu
      s'élimine. N'attendez pas le jour où une tragédie vous obligera
      à reconsidérer les priorités de votre vie.
     
      "L'avenir à chaque instant presse
      le présent d'être un souvenir."





     

     

    la soupe de cailloux

    25/04/2006 17:06

    la soupe de cailloux



    Pendant une grande famine du moyen-âge,
    un homme arriva dans un petit village.

      On lui dit "Passez votre chemin, Monsieur
    il n'y a rien à manger ici". Les habitants
    cachaient leurs réserves de nourriture
    et ne voulaient pas les partager.

      "Oh mais je ne demande rien à manger,
    j'invite tous ceux qui le veulent à
    manger de la bonne soupe ce soir".

      Et, joignant le geste à la parole, il
    découvrit un grand chaudron. Il demanda un coup
    de main pour le sortir de son chariot.
    Il était incroyablement lourd.

      "Il y a tout ce qu'il faut là-dedans
    dit-il, j'ai juste besoin d'eau".

      On lui apporta de l'eau et il l'installa
    au-dessus d'un grand feu.

      La nouvelle fit bientôt le tour du village.

      Tout le monde regardait de derrière sa fenêtre.

      L'homme demanda: "Savez-vous qui pourrait
    nous donner un peu de choux? C'est tellement
    meilleur avec des choux!"

      Un jardinier s'avança: il avait un choux
    qu'il avait caché. Il le donna volontiers
    pour avoir autant de soupe qu'il en voulait.

      "Maintenant, si nous avions un morceau
    de boeuf salé, cela ferait une soupe de roi!"

      Le boucher s'exécuta, trouvant un morceau
    de boeuf salé qu'il avait dans sa réserve.

      Oignons, patates, carottes, champignons...
    il continua à "améliorer" ainsi sa soupe
    magique.

      Quand vint l'heure de la déguster, elle
    était délicieuse et tout le monde en eut
    le ventre plein.

     
      Et l'homme passa au village suivant...


    ..............................................

      Morale de l'histoire? Ce que l'on ne peut
    pas faire seul, on peut le réaliser à
    plusieurs. Et en participant, en partageant
    ce qu'on a avec les autres, loin de s'appauvrir,
    on s'enrichit.





     

     

    avoir peur de demander aux autres....

    24/04/2006 02:15

    avoir peur de demander aux autres....


    Un représentant crève un pneu en rase campagne.
       Il ouvre son coffre cherche son cric... en vain.
       Pas de cric.
      Comme il est sur une petite route de campagne, en plein mois de juillet il se dit que personne ne va passer
    par là pour le secourir.
       Il décide de se rendre au village le plus proche, dont il voit le haut du clocher au loin, pour emprunter un cric.
       Le chemin est long, il fait chaud, et en route, il se dit:
       "Est-ce qu'il vont seulement avoir un cric à me prêter ?"
       Il avance encore, et, tout transpirant, se dit :
      "Et je connais les gens du coin, ils n'aiment pas les étrangers !"
     Il marche encore, et se dit :
       "Ils ne me connaissent pas, vont-ils seulement vouloir me le prêter, ce cric ?"
       Et il continue ainsi, s'imaginant les scénarios les plus désagréables, étant pris à parti par les villageois qui trouvent louche qu'il veuille emprunter un cric,
    proposant de l'acheter, personne ne voulant
      lui en vendre un, etc. etc.
     Il s'approche du village, de plus en plus énervé intérieurement, se met sur la place du village, et hurle :
      "Eh bien, puisque c'est comme ça, votre cric, vous  pouvez vous le garder !!!"
      

      
        
     Combien de fois nous imaginons-nous ainsi des objections qui ne
      seront jamais levées, des craintes sans fondement, et combien de
      fois, n'osons-nous pas demander par peur d'être rejeté ?

     







     

     

    l'arbre à soucis

    24/04/2006 01:37

    l'arbre à soucis


     Un jour, j'ai retenu les services d'un menuisier pour
    m'aider à restaurer ma vieille grange. Après avoir
    terminé une dure journée au cours de laquelle une
    crevaison lui avait fait perdre une heure de travail,
    sa scie électrique avait rendu l'âme et, pour finir,
    au moment de rentrer chez lui, son vieux camion
    refusait de démarrer.

    Je le reconduisis chez lui et il demeura froid et
    silencieux tout au long du trajet. Arrivé chez lui, il
    m'invita à rencontrer sa famille. Comme nous marchions
    le long de l'allée qui conduisait à la maison, il
    s'arrêta brièvement à un petit arbre, touchant le bout
    des branches de celui-ci de ses mains.

    Lorsqu'il ouvrit la porte pour entrer chez lui, une
    étonnante transformation se produisit. Son visage
    devint rayonnant, il caressa ses deux enfants et
    embrassa sa femme.

    Lorsqu'il me raccompagna à ma voiture, en passant près
    de l'arbre, la curiosité s'empara de moi et je lui
    demandai pourquoi il avait touché le bout des branches
    de cet arbre un peu plus tôt.

    « C'est mon arbre à soucis, » me répondit-il. « Je
    sais que je ne peux éviter les problèmes, les soucis
    et les embûches qui traversent mes journées, mais il y
    a une chose dont je suis certain, ceux-ci n'ont aucune
    place dans la maison avec ma femme et mes enfants.
    Alors, je les accroche à mon arbre à soucis tous les
    soirs lorsque je rentre à la maison. Et puis, je les
    reprends le matin ».

    « Ce qu'il y a de plus drôle », il sourit, « c'est que
    lorsque je sors de la maison le matin pour les
    reprendre, il y en a beaucoup moins que la veille
    lorsque je les avais accrochés.
     
     





     

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