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belle histoire amusante..!
13/10/2007 21:47
Invitation de la Folie
La Folie décida d'inviter ses amis pour prendre un café chez elle. Tous les invités y allèrent. Après le café la Folie proposa : - On joue à cache-cache ? - Cache-cache ? C'est quoi, ça ? demanda la Curiosité. - Cache-cache est un jeu. Je compte jusqu'à cent et vous vous cachez. - Quand j'ai fini de compter je cherche, et le premier que je trouve sera le prochain à compter. Tous acceptèrent, sauf la Peur et la Paresse. -1, 2, 3,... la Folie commença à compter. L'Empressement se cacha le premier, n'importe où. La Timidité, timide comme toujours, se cacha dans une touffe d'arbre. La Joie courut au milieu du jardin. La Tristesse commença à pleurer, car elle ne trouvait pas d'endroit approprié pour se cacher. L'Envie accompagna le Triomphe et se cacha près de lui derrière un rocher. La Folie continuait de compter tandis que ses amis se cachaient. Le Désespoir était désespéré en voyant que la Folie était déjà à 99. - CENT ! cria la Folie, je vais commencer à chercher... La première à être trouvée fut la Curiosité, car elle n'avait pu s'empêcher de sortir de sa cachette pour voir qui serait le premier découvert. En regardant sur le côté, la Folie vit le Doute au-dessus d'une clôture ne sachant pas de quel côté il serait mieux caché. Et ainsi de suite, elle découvrit la Joie, la Tristesse, la Timidité... Quand ils étaient tous réunis, la Curiosité demanda - Où est l'Amour ? Personne ne l'avait vu. La Folie commença à le chercher. Elle chercha au-dessus d'une montagne, dans les rivières au pied des rochers. Mais elle ne trouvait pas l'Amour. Cherchant de tous côtés, la Folie vit un rosier, pris un bout de bois et commença à chercher parmi les branches, lorsque soudain elle entendit un cri. C'était l'Amour, qui criait parce qu'une épine lui avait crevé un oeil. La Folie ne savait pas quoi faire. Elle s'excusa, implora l'Amour pour avoir son pardon et alla jusqu'à lui promettre de le suivre pour toujours. L'Amour accepta les excuses. Aujourd'hui, l'Amour est aveugle et la Folie l'accompagne toujours.
http://www.donjons-tresors.com/index.php?p=16360
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la vie..
18/05/2006 00:21
Le premier jour dieu créa la vache
Dieu dit: « tu dois aller au champ avec le fermier toute la journée et souffrir sous le soleil, avoir des veaux et donner du lait pour soutenir le fermier, je te donne une durée de vie de 60 ans »
La vache répondit : « c’est une sacrée vie dure que tu veux pour moi pendant 60 ans, c’est ok pour 20 ans et je te rends les 40 autres »
Et dieu a été d’accord
Le deuxième jour, dieu créa le chien.
Dieu a dit : « reste assis toute la journée sur le seuil de la porte de la maison et aboie sur quiconque entre ou passe devant. Je te donne une durée de vie de 20ans ».
Le chien a dit : « c’est trop long pour aboyer . Donne moi 10 ans et je te rends les 10 autres ».
Alors dieu a été à nouveau d’accord.
Le troisième jour dieu créa le singe.
Dieu a dit : « amuse les gens, fait des tours savants, fait les rire. Je te donne une durée de 20 ans ».
Le singe a dit : « faire des singeries pendant 20 ans ? C’est trop chiant!! Le chien t’as rendu 10 ans,non? Ben je fais pareil, »
Encore une fois dieu a été d’accord.
Le quatrième jour dieu créa l’homme.
Dieu a dit : « mange, dors, joue,amuse toi. Glande un rien. Je te donne 20 ans ».
L’homme répondit : « quoi? Seulement 20 ans?que dalle!! éoute, je prends mes 20 ans, les 40 que la vache a rendus, les 10 du chien et les 10 du singe . Ça fait 80 ok? »
« d’accord » répondit dieu,
C’est ainsi que pendant les 20 premières années de notre vie, nous mangeons, dormons, jouons,nous amusons et ne faisons rien;
Pendant les 40 années suivantes, nous travaillons comme un forçat au soleil pour entretenir notre famille;
Pendant les 10 années suivantes nous faisons des singeries pour distraire nos petits enfants;
Et pendant les 10 dernières années, nous sommes assis devant la maison à aboyer sur tout le monde!
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la guerrière et la peur
25/04/2006 19:03
Il était une fois une jeune guerrière à qui son maître dit qu'elle devait engager le combat contre la peur.
Elle ne voulait pas le faire. Ça lui semblait trop agressif, effrayant, hostile.
Mais le maître la poussa non sans lui donner quelques instructions avant la bataille.
Quand le jour du combat arriva, la jeune guerrière se tint d'un côté et la peur de l'autre. La première se sentait bien petite face à la seconde, qui avait l'air grande et courroucée. Toutes deux avaient leurs armes.
Mais il fallut faire le premier pas. La jeune guerrière s'enhardit, avança vers la peur, se prosterna trois fois et lui demanda: "Puis-je avoir la permission de me mesurer à vous?"
La peur, agréablement surprise, lui dit: "Merci d'avoir tant de respect pour moi. Il est rare qu'on sollicite ma permission. La plupart du temps, je m'impose sans qu'on m'y ait invité."
Alors la jeune guerrière lui demanda: "Comment puis-je vous vaincre?" La peur répliqua: "Je parle très vite et je m'approche tout près de votre visage : voilà mes armes. Généralement, vous vous troublez et vous faites tout ce que j'ordonne. Mais si vous ne faites pas ce que je vous dis, je n'ai aucun pouvoir.
Vous pouvez m'écouter, avoir du respect pour moi et même être convaincue de l'influence que j'ai sur vous, mais si vous ne m'obéissez pas, je suis totalement désemparée."
C'est ainsi que la jeune guerrière apprit à vaincre la peur: en l'accueillant, sans pour autant lui laisser le dernier mot.
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Et oui ! Cela paraît incroyable mais c'est pourtant ainsi que ça fonctionne: il faut avoir un certain respect pour sa frousse, comprendre comment nos émotions ont le pouvoir de nous faire tourner en rond.
Cette introspection nous aide à découvrir comment nous augmentons notre douleur et notre confusion. Accepter la peur, ne pas lui refuser l'entrée de notre esprit et une certaine emprise sur notre corps, mais sans la laisser dicter notre conduite, c'est le meilleur moyen de la combattre.
Grâce à l'attention portée à nous-mêmes, nous pouvons voir la peur au moment où elle surgit. Nous pouvons la relativiser, la comparer au reste de notre vie.
Nous comprenons le processus et nous évitons la réaction en chaîne qui transforme une peur d'abord minuscule en monstruosité inéluctable.
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Apprécier ce que l'on a !
21/04/2006 02:16
Un jour, le père d'une très riche famille amène son fils à la campagne pour lui montrer comment les gens pauvres vivent. Ils y passent quelques jours sur la ferme d'une famille qui n'a pas beaucoup à leur offrir.
Au retour, le père demande à son fils. : " as-tu aimé ton séjour? "
" C'était fantastique, papa ! "
"As-tu vu comment les gens pauvres vivent? " demande encore le père.
"Ah oui! " Répond le fils
" Alors qu'as-tu appris?"
Le fils lui répond " J'ai vu que nous n'avions qu'un chien alors qu'ils en ont quatre.
Nous avons une piscine qui fait la moitié du jardin et ils ont une grande crique.
Nous avons des lanternes dans notre jardin et eux ont des étoiles partout dans le ciel.
Nous avons une immense galerie à l'avant et eux ont l'horizon.
Nous avons un domaine mais eux ont des champs à perte de vue.
Nous avons des serviteurs alors qu'eux servent les autres.
Nous achetons nos denrées et eux les cultivent.
Nous avons des murs autour de la propriété pour nous protéger. Eux ont des amis qui les protègent. "
Le père en resta muet.
Le fils rajouta: " Merci Papa de m'avoir montrer tout ce que nous n'avons pas ".
Trop souvent nous oublions ce qui nous est acquis pour nous morfondre sur ce que nous n'avons pas.
Ce qui est un objet sans valeur pour un peut très bien être un trésor pour un autre. Ce n'est qu'une question de perspective.
C'est à se demander ce qui arriverait si on rendait grâce pour tout ce que nous avons au lieu d'en vouloir toujours plus.
Apprenez à apprécier ce que vous « avez ». Retrouvez vos yeux et votre cœur d’enfant et voyez combien il est important d’apprécier ce que vous avez plutôt que de vous soucier de ce que vous ne possédez pas.
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la valeur des gens
11/05/2006 02:47
un conférencier connu commence son séminaire en tenant un billet de 20$. il demande aux gens:
-qui aimerait avoir ce billet
les mains commencent à se lever.
alors il dit : -je vais donner ce billet de 20$ à quelqu'un de vous, mais avant laissez-moi d'abord faire quelque chose avec. il chiffone alors le billet avec force et il demande:
- est-ce que vous voulez toujours de ce billet?
les mains continuent à se lever.
-bon, d'accord, mais que se passera-t-il si je fais cela. il jette le billet froissé par terre et saute à pieds joints dessus l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher.
ensuite il demande :
-qui veut avoir ce billet?
Evidemment, les mains continuent de se lever!
Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon...peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé. il vaut toujours 20$
plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment!
la valeur d'une personne ne tient pas à ce qu'elle fait ou ne fait pas. vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur intrinsèque demeure toujours intacte!
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Le pêcheur mexicain
13/05/2006 17:36
Au bord de l'eau dans un petit village côtier mexicain, un bateau rentre au port, ramenant plusieurs thons. L'Américain complimente le pêcheur mexicain sur la qualité de ses poissons et lui demande combien de temps il lui a fallu pour les capturer :
" Pas très longtemps ", répond le Mexicain. " Mais alors, pourquoi n'êtes-vous pas resté en mer plus longtemps pour en attraper plus? " demande l'Américain. Le Mexicain répond que ces quelques poissons suffiront à subvenir aux besoins de sa famille.
L'Américain demande alors : " Mais que faites-vous le reste du temps? " " Je fais la grasse matinée, je pêche un peu, je joue avec mes enfants, je fais la sieste avec ma femme. Le soir, je vais au village voir mes amis. Nous buvons du vin et jouons de la guitare. J'ai une vie bien remplie ".
L'Américain l'interrompt : " J'ai un MBA de l'université de Harvard et je peux vous aider. Vous devriez commencer par pêcher plus longtemps. Avec les bénéfices dégagés, vous pourriez acheter un plus gros bateau. Avec l'argent que vous rapporterait ce bateau, vous pourriez en acheter un deuxième et ainsi de suite jusqu'à ce que vous possédiez une flotte de chalutiers. Au lieu de vendre vos poissons à un intermédiaire, vous pourriez négocier directement avec l'usine, et même ouvrir votre propre usine. Vous pourriez alors quitter votre petit village pour Mexico City, Los Angeles, puis peut-être New York, d'où vous dirigeriez toutes vos affaires. " Le Mexicain demande alors : " Combien de temps cela prendrait-il? " " 15 à 20 ans ", répond le banquier américain. " Et après? " " Après, c'est là que ça devient intéressant ", répond l'Américain en riant. " Quand le moment sera venu, vous pourrez introduire votre société en bourse et vous gagnerez des millions ".
" Des millions? Mais après? " " Après, vous pourrez prendre votre retraite, habiter dans un petit village côtier, faire la grasse matinée, jouer avec vos petits-enfants, pêcher un peu, faire la sieste avec votre femme et passer vos soirées à boire et à jouer de la guitare avec vos amis.
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la barque fantôme
08/05/2006 03:54
La barque fantôme
La brume recouvrait l'étang comme une couverture et le pêcheur fendait le coton humide à lents coup de rames.
Nul bruit. Même le soleil semblait hésiter à dissiper le brouillard. Mais le pêcheur soudain vit une autre barque; elle descendait le courant et fonçait droit sur lui sans paraître vouloir l'éviter.
Avant qu'elle ne vienne heurter sa propre embarcation, le pêcheur hurla: "Attention, Bon Dieu, mais attention!".
Des oiseaux s'envolèrent, effrayés, mais l'autre barque continuait à avancer et la collision faillit le faire tomber à l'eau.
Le pêcheur, hors de lui, commença à empoigner sa rame pour menacer celui qui avait manqué le désarçonner... pour finalement s'apercevoir, en y regardant à 2 fois, qu'il n'y avait personne dans l'autre barque.
Elle avait dû se détacher et dérivait en descendant la rivière. Alors que le soleil commençait à percer l'épais brouillard, toute la colère du pêcheur disparut et il éclata de rire. Ce qui fit s'envoler quelques oiseaux de plus.
Il nous est tous arrivé d'être à la place de ce pêcheur car nos perceptions ne sont pas justes et peuvent facilement nous tromper. Ce texte simple contient une belle leçon: laissez-vous le temps de la réflexion avant de ruer dans les brancards et sachez rire de vos défaillances.
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patience ou force?
08/05/2006 03:33
Patience ou force ?
Un homme et une femme étaient mariées depuis plus de 60 ans.
Ils avaient tout partagé. Ils avaient tout discuté.
Ils n'avaient pas gardé de secret l'un pour l'autre
excepté que la vieille dame avait une boîte à chaussures
sur la tablette du haut de son armoire.
Elle avait averti son mari de ne jamais regarder dans la boîte
ni de lui demander des questions à son sujet.
Pendant toutes ces années, il n'avait jamais pensé à la boîte
mais la vieille dame était très malade et le médecin dit
qu'elle ne s'en remettrait pas.
En tentant de trier les choses de son épouse, le vieil homme prit
la boîte à chaussures et l'apporta avec lui.
Il s'asseoit sur le bord du lit de la vieille dame.
Elle accepta alors qu'il était temps pour lui d'en connaître le contenu.
Lorsqu'il ouvrit la boîte, il trouva 2 napperons crochetés
et une liasse d'argent totalisant $25,000.
Il lui demanda ce que représentait le contenu.
"Lorsque je m'apprêtais à te marier," dit-elle,
"ma grand-mère me confia que
le secret d'un mariage heureux était de ne jamais argumenter.
Elle me dit que si jamais j'étais en colère contre toi,
de rester tranquille et de crocheter un napperon."
Le vieil homme était très ému et devait retenir ses larmes.
Il n'y avait que 2 précieux napperons dans la boîte.
Elle n'avait été en colère contre lui
que deux fois pendant toutes ces années d'amour ensemble.
Il était extrêmement heureux.
"Chérie," dit-il, "ça explique les napperons,
mais qu'en est-il de tout cet argent? D'où provient-il?"
"Oh," dit-elle, "c'est l'argent que j'ai fait en vendant tous les napperons."
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la boite à baisers
23/04/2006 02:13
Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré. A l'époque, l'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilisa le papier pour décorer une boite à cadeau juste pour occuper le dessous de l'arbre de Noël. Le lendemain matin, la petite enfant apporta le cadeau à son père en lui disant : "C'est pour toi Papa ! ".
Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction. Toutefois, celle-ci se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille "Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite ? ". La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!". Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction.
Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.
Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie de l'amour inconditionnel et des baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?
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Le peigne et la chaîne.
28/04/2006 18:41
Il y avait une fois, en quelque lieu du monde, deux époux dont l'amour n'avait cessé de grandir au creux de leur chaumière, depuis le jour de leur mariage.
Ils étaient très pauvres et chacun d'eux savait que l'autre portait en son cœur un désir inassouvi ; lui avait une montre en or pour laquelle il ambitionnait secrètement d'acquérir un jour une chaîne du même métal précieux. Elle avait de grands et beaux cheveux, et rêvait d'un peigne de nacre pour les serrer sur sa nuque.
Avec les années qui passaient, lui en était venu à penser au peigne plus qu'à la chaîne de montre, cependant qu'elle oubliait la nacre en cherchant comment acheter la chaîne rutilante.
Depuis longtemps ils n'en parlaient plus, mais leur esprit secrètement nourrissait le projet impossible.
Au matin de leurs noces d'or, le mari eut la stupeur de voir son épouse avancer vers lui les cheveux coupés ! "Qu'as-tu fait, mon amie ?"
Elle ouvrit alors ses mains dans lesquelles brillait la chaîne d'or : "Je les ai vendus pour acheter la chaîne qui accompagnera ta montre.
- Ma pauvre amie, s'écria-t-il en ouvrant ses propres mains dans lesquelles resplendissait la nacre, j'ai vendu la montre pour t'acheter le peigne !"
Et de tomber dans les bras l'un de l'autre, dépouillés de tout, riches de leur seul amour...
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