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les trois tamis
21/04/2006 04:04
Un jour, quelqu'un vint trouver Socrate et lui dit : - il faut que je te raconte comment ton ami s'est conduit.
- Un instant, dit le sage. As-tu passé ce que tu as à me dire à travers les trois tamis ?
- Quels tamis ?
- Le premier : celui de la vérité. L'as-tu vu par toi-même ou te l'a-t'on raconté ?
- Non, je l'ai entendu raconter.
- Bien, bien ! Mais sans doute l'as-tu fait passer à travers le second tamis, celui de la Bonté ? Si ce que tu veux me raconter n'est pas tout à fait vrai, c'est au moins quelque chose de bon ?
- Heu, non au contraire...
- Essayons encore le troisième tamis. Voyons s'il est utile de me raconter ce que tu as envie de me dire..
- Utile ? Pas précisément.
- Alors, dit Socrate en souriant, si ce que tu as à medire n'est ni vrai, ni bon, ni utile, je préfère ne pas le savoir. Et quant à toi, je te conseille de l'oublier !
Voilà une autre façon d'exprimer la pensée disant "Si ce que tu as à dire est moins beau que le silence alors tais-toi !".
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On n'est pas les plus malheureux...
21/04/2006 03:53
Si on pouvait réduire la population du monde en un village de 100 personnes tout en maintenant les proportions de tous les peuples existants sur la terre, ce village serait ainsi composé : 57 asiatiques 21 européens 14 américains (Nord, Centre et Sud) 8 africains
Il y aurait : 52 femmes et 48 hommes 30 blancs et 70 non blancs 30 chrétiens et 70 non chrétiens 89 hétérosexuels et 11 homosexuels 6 personnes posséderaient 59% de la richesse totale et tous les 6 seraient originaires des USA 80 vivraient dans des mauvaises maisons 70 seraient analphabètes 50 souffriraient de malnutrition 1 serait en train de mourir 1 serait en train de naître 1 posséderait un ordinateur 1 (oui, un seulement) aurait un diplôme universitaire
Si on considère le monde de cette manière, le besoin d'accepter et de comprendre devient évident.
Prenez en considération aussi ceci : * Si vous vous êtes levé ce matin avec plus de santé que de maladie, vous êtes plus chanceux que le million de personnes qui ne verra pas la semaine prochaine. * Si vous n'avez jamais été dans le danger d'une bataille, la solitude de l'emprisonnement, l'agonie de la torture, l'étau de la faim, vous êtes mieux que 500 millions de personnes. * Si vous pouvez aller à l'église sans peur d'être menacé, torturé ou tué, vous avez une meilleure chance que 3 milliards de personnes. * Si vous avez de la nourriture dans votre frigo, des habits sur vous, un toit sur votre tête et un endroit pour dormir, vous êtes plus riche que les 75% des habitants de la terre. * Si vous avez de l'argent à la banque, dans votre portefeuille et de la monnaie dans une petite boite, vous faite partie du 8% les plus privilégiés du monde. * Si vos parents sont encore vivants et toujours mariés, vous êtes des personnes réellement rares. * Si vous lisez ce texte, vous ne faites pas partie des deux milliards de personnes qui ne savent pas lire.
Travaille comme si tu n'avais pas besoin d'argent. Aime comme si personne ne t'avait jamais fait souffrir. Danse comme si personne ne te regardait. Chante comme si personne ne t'écoutait. Vis comme si le paradis était sur terre.
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rendre les autres heureux
21/04/2006 03:49
Deux hommes, tous les deux gravement malades occupaient la même chambre d'hôpital. L'un d'eux devait s'asseoir dans son lit pendant une heure chaque après-midi afin d'évacuer les sécrétions de ses poumons. Son lit était à côté de la seule fenêtre de la chambre. L'autre homme devait passer ses journées couché sur le dos.
Les deux compagnons d'infortune se parlaient pendant des heures. Ils parlaient de leurs épouses et familles, décrivaient leur maison, leur travail, leur participation dans le service militaire et les endroits où ils avaient été en vacances. Et chaque après-midi, quand l'homme dans le lit près de la fenêtre pouvait s'asseoir, il passait le temps à décrire à son compagnon de chambre tout ce qu'il voyait dehors. L'homme dans l'autre lit commença à vivre pour ces périodes d'une heure où son monde était élargi et égayé par toutes les activités et les couleurs du monde extérieur. De la chambre, la vue donnait sur un parc avec un beau lac. Les canards et les cygnes jouaient sur l'eau tandis que les enfants faisaient voguer leurs bateaux, modèles réduits. Les amoureux marchaient bras dessus, bras dessous, parmi des fleurs aux couleurs de l'arc-en-ciel. De grands arbres décoraient le paysage et on pouvait apercevoir au loin la ville se dessiner. Pendant que l'homme près de la fenêtre décrivait tous ces détails, l'homme de l'autre côté de la chambre fermait les yeux et imaginait la scène pittoresque.
Lors d'un bel après-midi, l'homme près de la fenêtre décrivit une parade qui passait par là. Bien que l'autre homme n'ait pu entendre l'orchestre, il pouvait le voir avec les yeux de son imagination, tellement son compagnon le dépeignait de façon vivante. Les jours et les semaines passèrent.
Un matin, à l'heure du bain, l'infirmière trouva le corps sans vie de l'homme près de la fenêtre, mort paisiblement dans son sommeil. Attristée, elle appela les préposés pour qu'ils viennent prendre le corps. Dès qu'il sentit que le temps était approprié, l'autre homme demanda s'il pouvait être déplacé à côté de la fenêtre. L'infirmière, heureuse de lui accorder cette petite faveur, s'assura de son confort, puis elle le laissa seul. Lentement, péniblement, le malade se souleva un peu, en s'appuyant sur un coude pour jeter son premier coup d'oeil dehors. Enfin il aurait la joie de voir par lui-même ce que son ami lui avait décrit. Il s'étira pour se tourner lentement vers la fenêtre près du lit.
Or tout ce qu'il vit, fut... un mur ! L'homme demanda à l'infirmière pourquoi son compagnon de chambre décédé lui avait dépeint une toute autre réalité. L'infirmière répondit que l'homme était aveugle et ne pouvait même pas voir le mur. "Peut-être, a-t-il seulement voulu vous encourager", commenta-t-elle.
épilogue...
Il y a un bonheur extraordinaire à rendre d'autres heureux, en dépit de nos propres épreuves. La peine partagée réduit de moitié la douleur, mais le bonheur, une fois partagé, s'en trouve doublé. Si vous voulez vous sentir riche, vous n'avez qu'à compter, parmi toutes les choses que vous possédez, celles que l'argent ne peut acheter.
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un sourire
21/04/2006 03:39
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup, il enrichit ceux qui le reçoivent sans appauvrir ceux qui le donnent. Il ne dure qu'un instant mais son souvenir est parfois éternel. Personne n'est assez riche pour s'en passer. Personne n'est assez pauvre pour ne pas le mériter. Il crée le bonheur au foyer, soutient les affaires, il est le signe sensible de l'amitié.
Un sourire donne du repos à l'être fatigué. Rend du courage aux plus découragés. Il ne peut ni s'acheter, ni se prêter, ni se voler, car c'est une chose qui n'a de valeur qu'à partir du moment où il se donne. Et si quelquefois vous rencontrez une personne qui ne sait plus avoir le sourire, soyez généreux, donnez-lui le vôtre. Car nul n'a autant besoin d'un sourire que celui qui ne peut en donner aux autres.
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conseils pour la vie...
21/04/2006 03:32
- ne laisse pas que les rêves soient ta vie, mais que ta vie soit ton rêve
- tu peux resister à tout sauf à la tentation
- tu cherche du bien sans le trouver, et tu trouvera le mal sans le chercher
- rappele toi, que tant tu es vivant, il y'a de l'éspoire
- tu fait tout pour gagner un coeur, et peu pour le garder
- fait tout pour vivre ton existance, parce que le plus grand fardeau c'est d'éxister sans vivre
- ne gémis jamais sur un malheur passé, c'est le plus sûr moyen d'en attirer un autre
- évite les monsenges, même s'il n'y a que la vérité qui blesse
- souviens toi, que si tu n'a rien c'est que déja rien vaut quelque chose
- personne ne mérite tes larmes, et celui qui les mérite ne te fera sûrement pas pleurer
- n'arrête jamais de sourire même si tu es triste, parce que tu ne sais jamais qui pourrait tomber amoureux de ton sourire
- ne pleure pas parce que quelque chose est terminée, mais souris parce qu'elle a eu lieu
- peut être tu n'es qu'une personne pour le monde, mais pour des personnes tu es tout le monde
- ne cours pas trop, les meilleurs choses arrivent lorseque tu les attend le moins
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Le petit garçon qui plantait des clous !
21/04/2006 01:37
C'est l'histoire d'un petit garçon qui avait mauvais caractère. Son père lui donna un sac de clous et lui dit qu'à chaque fois qu'il perdrait patience, il devrait planter un clou derrière la clôture. Le premier jour, le jeune garçon planta 37 clous derrière la clôture. Les semaines qui suivirent à mesure qu'il apprenait à contrôler son humeur, il plantait de moins en moins de clous derrière la clôture...Il découvrit qu'il était plus facile de contrôler son humeur que d'aller planter des clous derrière la clôture... Le jour vint où il contrôla son humeur toute la journée. Après en avoir informé son père, ce dernier lui suggéra de retirer un clou à chaque jour où il contrôlerait son humeur. Les jours passèrent et le jeune homme pût finalement annoncer à son père qu'il ne restait plus aucun clou à retirer de la clôture. Son père le prit par la main et l'amena à la clôture. Il lui dit: "Tu as travaillé fort, mon fils, mais regarde tous ces trous dans la clôture. Elle ne sera plus jamais la même. à chaque fois que tu perds patience, cela laisse des cicatrices exactement comme celles-ci. Tu peux enfoncer un couteau dans un homme et le retirer, peu importe combien de fois tu lui diras être désolé, la cicatrice demeurera pour toujours. Une offense verbale est aussi néfaste qu'une offense physique. Les amis sont des joyaux précieux. Ils nous font rire et nous encouragent à réussir. Ils nous prêtent une oreille attentive, nous louangent et sont toujours prêts à nous ouvrir leur coeur.
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Le roi et le jardin
20/04/2006 02:38
Il y avait un jour un roi qui avait planté près de son château toutes sortes d'arbres, de plantes et de fleurs et son jardin était d'une grande beauté. Chaque jour, il s'y promenait: c'était pour lui une joie et une détente.
Un jour, il dût partir en voyage.à son retour, il s'empressa d'aller marcher dans le jardin. Il fut désolé en constatant que les plantes et les arbres étaient en train de se dessécher.
Il s'adressa au pin, autrefois majestueux et plein de vie, et lui demanda ce qui s'était passé. Le pin lui répondit: " J'ai regardé le pommier et je me suis dit que jamais je ne produirais les bons fruits qu'il porte. Je me suis découragé et j'ai commencé à sécher."
Le roi alla trouver le pommier: lui aussi se desséchait...Il l'interrogea et il dit: " En regardant la rose et en sentant son parfum, je me suis dit que jamais je ne serais aussi beau et agréable et je me suis mis à sécher."
Comme la rose elle-même était en train de dépérir, il alla lui parler et elle lui dit: "Comme c'est dommage que je n'ai pas l'âge de l'érable qui est là-bas et que mes feuilles ne se colorent pas à l'automne. Dans ces conditions, à quoi¨bon vivre et faire des fleurs? Je me suis donc mise à dessécher."
Poursuivant son exploration, le roi aperçut une magnifique petite fleur. Elle était toute épanouie. Il lui demanda comment il se faisait qu'elle soit si vivante. Elle lui répondit: " J'ai failli me dessécher, car au début je me désolais. Jamais je n'aurais la majesté du pin, qui garde sa verdure toute l'année; ni le raffinement et le parfum de la rose. Et j'ai commencé à mourir mais j'ai réfléchi et je me suis dit: " Si le roi, qui est riche, puissant et sage, et qui a organisé ce jardin, avait voulu quelque chose d'autre à ma place, il l'aurait planté. Si donc, il m'a plantée, c'est qu'il me voulait, moi, telle que je suis." Et à partir de ce moment, j'ai décidé d'être la plus belle possible!"
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Hier, Aujourd'hui, Demain
20/04/2006 02:24
Chaque semaine compte deux jours pour lesquels nous ne devrions pas nous faire de souci, deux jours où il ne nous faudrait connaître ni crainte, ni appréhension.
Le premier jour, c'est hier, qui porte le fardeau de ses soucis, de ses erreurs, de ses fautes, de ses bévues, de ses souffrances et de ses chagrins. Hier nous a échappé à tout jamais. Tout l'or du monde ne pourrait le faire renaître. Nous ne pouvons défaire les actes accomplis, les paroles prononcées. Hier est un jour révolu.
L'autre jour qu'il convient de mettre à l'abri des soucis, c'est demain, plein de grandes promesses, de piètres résultats, de malheurs possibles et de fardeaux. Demain échappe à notre emprise. Le soleil se lèvera inexorablement dans la splendeur ou derrière un voile de nuages. Jusqu'à son lever, nous ne pouvons miser sur rien, puisque demain n'a pas vu le jour.
Il ne nous reste donc qu'aujourd'hui. Tous nous pouvons livrer bataille pendant une petite journée. Nous ne faiblissons et ne chavirons que si le poids d'hier et de demain - ces deux terribles éternités - s'ajoutent aux inquiétudes d'aujourd'hui.
Ce ne sont pas les expériences d'aujourd'hui qui nous désespèrent, c'est l'amertume du remords de la veille et la crainte de demain.
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n'abondonne jamais!
20/04/2006 02:15
Quand les choses vont vraiment mal comme elles savent si bien le faire quelquefois,
Quand la route sur laquelle tu chemines péniblement semble s'achever au sommet d'une colline,
Quand les fonds sont bas et que les dettes culminent
Tu voudrais sourire, et tu dois pousser des soupirs, quand le souci te pousse dans la déprime,
Repose-toi si tu veux... mais n'abandonne pas.
La vie est si étrange avec ses revers et ses détours comme chacun de nous a pu l'apprendre un jour, et beaucoup qui ont été abattus par un échec auraient pu réussir s'ils avaient persévéré...
N'abandonne pas même si tout semble aller lentement, car un autre souffle peut apporter la réussite.
Le succès n'est que l'envers de l'échec. et tu ne peux jamais savoir à quelle distance se trouve le but, qui peut être très proche alors qu'il te semble si lointain.
Aussi, continue la lutte au plus fort du combat car c'est quand tout te semble perdu que tu ne dois pas abandonner.
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DE MES MOTS
19/04/2006 03:30
J'ai mis une tranche de vie en texte, ce que j'aime ce que déteste, de simples mots qui me reflètent, donnant l'image d'une silhouette.
Parfois tranchante parfois douceur, mais qui t'explique ce que je pense, de l'être humain en décadence, de mes chagrins de mon bonheur.
Mais le plus important à lire quand tu trouveras cet élixir, se trouve inscrit entre les lignes, où tu t'épanches je m'imagine....
Il abreuvera peut-être ton coeur, qui recherchait de la douceur, et naîtra en pensé une fleur, d'où éclora notre bonheur.
Qui innondera de son amour, à la douce fragance qu'il distille, nos deux êtres qui jour après jour s'épanouissent le long du fil
du temps que je veux éternel, comme ce tableau, ces aquarelles, de ce monde que j'ai dessiné, de mes mots justes pour t'aimer...
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